Le Crabe, par Jivaro
C'est toujours très compliqué pour ceux qui restent. Devoir vivre avec comme lendemain les souvenirs qui nous rassemblent... Au début on croit même les voir passer au détour d'une rue. On reconnait leur voix dans des conversations qui ne nous sont pas destinées. Et puis il y a tout se vide impossible à combler toute cette souffrance et cette rage qui ne faiblit pas. Mais il y a aussi tous ceux qui restent et qui font que l'on doit continuer à avancer. Et il reste tant de belles choses à découvrir, à faire, à vivre !
C'est sur ce thème, et avec un très joli texte de Jivaro, que je vous invite Aujourd'hui dans l'écriture solidaire,